Petit jeu pour les artistes du Cénacle
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Petit jeu pour les artistes du Cénacle
Ok la psychologie est une interprétation subjective des sentiments/comportements d'une personne et vous n'y prêtez guère attention. Mais on est inscrit sur ce merveilleux forum pour s'amuser et rigoler, même un peu aux dépens des autres et à ses propres dépens.
Afin de mieux vous cerner, je vous invite à répondre à cette mise en situation. Décontractez-vous, prenez une station assise confortable, fermez les yeux et imaginez-vous dans un désert... Vos réponses doivent être spontanées.
Vous vous retrouvez seul dans une immense étendue de sable, le vent pousse avec délicatesse vers votre visage de l'air frais. Vous marchez tranquillement quand vous faites soudain face à un cube : décrivez-le.
Vous dépassez le cube, puis, après dix minutes de marche, une forte tempête de sable souhaite en découdre avec votre présence incongrue : que faites-vous ?
La tempête s'affaiblit et s'éloigne pour rechercher une nouvelle proie. Vous poursuivez votre marche jusqu'à un escalier : décrivez-le.
Après avoir observé cet escalier, vous le contournez et reprenez chemin. Deux bonnes heures s'écoulent jusqu'à votre nouvel étape : une oasis. Quel est votre état d'esprit une fois à cette oasis ?
Après avoir repris quelques forces, il vous faut de nouveau avancer dans le désert. Votre parcours est interrompu par la présence au loin d'un cheval : que faites-vous ?
Merci d'avoir apporté réponse à ces cinq situations. Le Dr. Klosterheim vous enverra son analyse par MP
Klosterheim- Investigateur averti
- Nombre de messages : 809
Age : 114
Localisation : Rennes
Date d'inscription : 13/09/2006
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
lol comment tu peux lire ce post en "fermant les yeux !!!" ?????
sinon, je présuppose qu'il s'agit d'un désert aride, puisqu'aucun élément donné ne permet de préciser le climat dans ce désert. Et puis, en bon poitevin, les seules étendues de sable que je connaisse sont soit celle d'une plage, soit celle d'un désert aride. Du fait de mon expérience personnel, je préfère révêr du Sahara!!
1. Le cube: Il s'agit d'une station météo avec pleins de potentiomètres, de couleur blanche, mordorée de poussière de sable . Pas plus haut que mon torse, un petit écran à son sommet semble décrire une courbe de différence de potentiels.
2. Je cherche du regard une roche saillante, puis je creuse un trou juste à coté, en diagonale par rapport à l'axe estimé du passage de la tempête de sable, pour m'y pelotonner en attendant que ça passe. Si j'ai bien prévu mon équipement avant de partir, j'enrubanne un foulard autour de ma tête, pour protéger mes yeux et ma bouche.
3 Il s'agit d'un escalier massif, tout de béton fait. En spirale, il monte vers les hauteurs sans que j'en voit le point de chute ! Les premières marches sont enfoncées dans le sable, les dernières dans une sorte de flou du à la chaleur.
Il n'est pas totalement sécurisé, puisqu'il n'existe aucun gardefou (pas très réglementaire tout ça!) et que les marches sont relativement haute et la pente forte. Il ne me semble cependant pas difficile à emprunter!
4. Pour ce qui est de l'oasis, je suis très heureux de la voir, puisque je meurs littéralement de soif (deux heures sans boire!). Aux vues de la végétation de cet oasis, celle-ci est luxuriante, avec des palmiers aux larges feuilles et des dattes juteuses. J'en salive et déglutit.
J'apercois au fond de cette oasis une oued aux bras amples qui se perd au loin. Une caravane semble avoir pris ses quartiers en attendant de repartir, j'entend d'ailleurs des gazouillis féminins près de la rive de l'oued. Je suis très impatient de visiter ses richesses (lol)
5. je l'observe au loin, la nature est belle....
Puis je reprend mes esprits, et je cherche alentour une présence humaine. S'il y a un cheval, il y a des chances qu'il y ait une caravane. Il est également possible qu'il soit monté !!
Si cette présence est proche, je demande de l'aide à mon congénère pour me sortir de cette fournaise.
Si elle n'existe pas, je me dis que je me rapproche des limites du désert, puisque les équidés ont tendance à rester à proximité de leur source de nourriture et de boisson.
Voila, voila, allez Klost, psychanalise moi !!!
sinon, je présuppose qu'il s'agit d'un désert aride, puisqu'aucun élément donné ne permet de préciser le climat dans ce désert. Et puis, en bon poitevin, les seules étendues de sable que je connaisse sont soit celle d'une plage, soit celle d'un désert aride. Du fait de mon expérience personnel, je préfère révêr du Sahara!!
1. Le cube: Il s'agit d'une station météo avec pleins de potentiomètres, de couleur blanche, mordorée de poussière de sable . Pas plus haut que mon torse, un petit écran à son sommet semble décrire une courbe de différence de potentiels.
2. Je cherche du regard une roche saillante, puis je creuse un trou juste à coté, en diagonale par rapport à l'axe estimé du passage de la tempête de sable, pour m'y pelotonner en attendant que ça passe. Si j'ai bien prévu mon équipement avant de partir, j'enrubanne un foulard autour de ma tête, pour protéger mes yeux et ma bouche.
3 Il s'agit d'un escalier massif, tout de béton fait. En spirale, il monte vers les hauteurs sans que j'en voit le point de chute ! Les premières marches sont enfoncées dans le sable, les dernières dans une sorte de flou du à la chaleur.
Il n'est pas totalement sécurisé, puisqu'il n'existe aucun gardefou (pas très réglementaire tout ça!) et que les marches sont relativement haute et la pente forte. Il ne me semble cependant pas difficile à emprunter!
4. Pour ce qui est de l'oasis, je suis très heureux de la voir, puisque je meurs littéralement de soif (deux heures sans boire!). Aux vues de la végétation de cet oasis, celle-ci est luxuriante, avec des palmiers aux larges feuilles et des dattes juteuses. J'en salive et déglutit.
J'apercois au fond de cette oasis une oued aux bras amples qui se perd au loin. Une caravane semble avoir pris ses quartiers en attendant de repartir, j'entend d'ailleurs des gazouillis féminins près de la rive de l'oued. Je suis très impatient de visiter ses richesses (lol)
5. je l'observe au loin, la nature est belle....
Puis je reprend mes esprits, et je cherche alentour une présence humaine. S'il y a un cheval, il y a des chances qu'il y ait une caravane. Il est également possible qu'il soit monté !!
Si cette présence est proche, je demande de l'aide à mon congénère pour me sortir de cette fournaise.
Si elle n'existe pas, je me dis que je me rapproche des limites du désert, puisque les équidés ont tendance à rester à proximité de leur source de nourriture et de boisson.
Voila, voila, allez Klost, psychanalise moi !!!
Prodigee- Grand Ancien
- Nombre de messages : 5043
Age : 43
Localisation : Poitiers
Date d'inscription : 27/09/2006
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
mp envoyé + petit bonus
Klosterheim- Investigateur averti
- Nombre de messages : 809
Age : 114
Localisation : Rennes
Date d'inscription : 13/09/2006
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
et les autres, on attend toujours votre participation (allez, merde, quoi, que je sois pas le seul à me faire traiter de pervers polymorphe !!!)
Prodigee- Grand Ancien
- Nombre de messages : 5043
Age : 43
Localisation : Poitiers
Date d'inscription : 27/09/2006
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
Vous vous retrouvez seul dans une immense étendue de sable, le vent pousse avec délicatesse vers votre visage de l'air frais. Vous marchez tranquillement quand vous faites soudain face à un cube : décrivez-le.
Il s'agit d'un cube parfait, fait d'un métal bleu acier. il flotte à environ 1 mètre du sol dans un silence absolut. Il tourne lentement sur lui même, environ 1 tour à la minute. Malgré son apparence et sa surface parfaitement lisse, rien ne s'y reflète.
Le simlpe fait de le regarder suffit à faire naitre un frisson à la base du coup.
j'aimerais rester plus longtemps pour l'étudier, mais le temps me fait défaut. Je reprends ma route, non sans avoir anoter cela dans mon journal et tracer un repère sur ma carte.
Vous dépassez le cube, puis, après dix minutes de marche, une forte tempête de sable souhaite en découdre avec votre présence incongrue : que faites-vous ?
Je rabats remonte le capuchon de ma djelaba, descends un morceau de mon turban pour m'en faire un masque et péniblement, poursuit ma route contre la volonté des éléments.
La tempête s'affaiblit et s'éloigne pour rechercher une nouvelle proie. Vous poursuivez votre marche jusqu'à un escalier : décrivez-le.
Un léger dévers dans le sable attire mon attention, il mène à une cavité d'origine vraissemblablement artificiel. On pourrait croire à l'entrée d'une Pyramide si l'absence même de l'édifice ne suffisait pas à oblitérer cette possibilité.
Un escalier descend en pente raide semble descendre dans les entrailles même de la terre. Sa petite taille, tant au niveau des marches que du plafond fait penser à un escalier pour enfant ou personne de très petite taille. Il m'apparait donc comme très contraignant à emprunter et malgrè la curiosité qui me ronge, je remet cette entreprise à plus tard après avoir pris soin de noter cette emplacement sur ma carte.
Après avoir observé cet escalier, vous le contournez et reprenez chemin. Deux bonnes heures s'écoulent jusqu'à votre nouvel étape : une oasis. Quel est votre état d'esprit une fois à cette oasis ?
Tirailler par la faim et la soif, j'atteinds l'oasis avec un profond sentiment de soulagement. La tempête avait finit de m'assècher et de m'épuiser.
Je me plonge dans l'eau avec une profonde gratitude envers les puissances qui ont créé cette endroit magnifique.
Puis-je m'allonge, l'esprit et le corps vidé et m'octroie un peu de repos amplement mérité.
Après avoir repris quelques forces, il vous faut de nouveau avancer dans le désert. Votre parcours est interrompu par la présence au loin d'un cheval : que faites-vous ?
J'observe calmement l'animal afin de déterminer si un cavalier pourrait se trouver à proximité, puis cela semblant improbable, j'entreprends d'approcher l'animal afin de faciliter la suite de mon voyage.
Je remercie déjà intérieurement le destin ou ma chance d'avoir croiser la route de ce noble coursier.
Il s'agit d'un cube parfait, fait d'un métal bleu acier. il flotte à environ 1 mètre du sol dans un silence absolut. Il tourne lentement sur lui même, environ 1 tour à la minute. Malgré son apparence et sa surface parfaitement lisse, rien ne s'y reflète.
Le simlpe fait de le regarder suffit à faire naitre un frisson à la base du coup.
j'aimerais rester plus longtemps pour l'étudier, mais le temps me fait défaut. Je reprends ma route, non sans avoir anoter cela dans mon journal et tracer un repère sur ma carte.
Vous dépassez le cube, puis, après dix minutes de marche, une forte tempête de sable souhaite en découdre avec votre présence incongrue : que faites-vous ?
Je rabats remonte le capuchon de ma djelaba, descends un morceau de mon turban pour m'en faire un masque et péniblement, poursuit ma route contre la volonté des éléments.
La tempête s'affaiblit et s'éloigne pour rechercher une nouvelle proie. Vous poursuivez votre marche jusqu'à un escalier : décrivez-le.
Un léger dévers dans le sable attire mon attention, il mène à une cavité d'origine vraissemblablement artificiel. On pourrait croire à l'entrée d'une Pyramide si l'absence même de l'édifice ne suffisait pas à oblitérer cette possibilité.
Un escalier descend en pente raide semble descendre dans les entrailles même de la terre. Sa petite taille, tant au niveau des marches que du plafond fait penser à un escalier pour enfant ou personne de très petite taille. Il m'apparait donc comme très contraignant à emprunter et malgrè la curiosité qui me ronge, je remet cette entreprise à plus tard après avoir pris soin de noter cette emplacement sur ma carte.
Après avoir observé cet escalier, vous le contournez et reprenez chemin. Deux bonnes heures s'écoulent jusqu'à votre nouvel étape : une oasis. Quel est votre état d'esprit une fois à cette oasis ?
Tirailler par la faim et la soif, j'atteinds l'oasis avec un profond sentiment de soulagement. La tempête avait finit de m'assècher et de m'épuiser.
Je me plonge dans l'eau avec une profonde gratitude envers les puissances qui ont créé cette endroit magnifique.
Puis-je m'allonge, l'esprit et le corps vidé et m'octroie un peu de repos amplement mérité.
Après avoir repris quelques forces, il vous faut de nouveau avancer dans le désert. Votre parcours est interrompu par la présence au loin d'un cheval : que faites-vous ?
J'observe calmement l'animal afin de déterminer si un cavalier pourrait se trouver à proximité, puis cela semblant improbable, j'entreprends d'approcher l'animal afin de faciliter la suite de mon voyage.
Je remercie déjà intérieurement le destin ou ma chance d'avoir croiser la route de ce noble coursier.
Dernière édition par le Mar 29 Mai 2007 - 14:08, édité 1 fois
ArticMan- Champion de France 2008
- Nombre de messages : 1650
Age : 53
Localisation : POITIERS
Date d'inscription : 13/05/2007
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
.....
Dernière édition par le Mar 29 Mai 2007 - 12:16, édité 1 fois
Prodigee- Grand Ancien
- Nombre de messages : 5043
Age : 43
Localisation : Poitiers
Date d'inscription : 27/09/2006
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
ArticMan a écrit:dans un silence absolut
C'est un silence à base de vodka
ArticMan a écrit: il même à un cavité d'origine vraissemblablement artificiel
On veut rien savoir de tes préférences sexuelles avec ton anus factice.
Prodigee- Grand Ancien
- Nombre de messages : 5043
Age : 43
Localisation : Poitiers
Date d'inscription : 27/09/2006
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
Forcément après un silence absolut, j'écris plus très adroit
ArticMan- Champion de France 2008
- Nombre de messages : 1650
Age : 53
Localisation : POITIERS
Date d'inscription : 13/05/2007
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
Vous vous retrouvez seul dans une immense étendue de sable, le vent pousse avec délicatesse vers votre visage de l'air frais. Vous marchez tranquillement quand vous faites soudain face à un cube : décrivez-le.
C'est une sorte de rubik's cube en métal trés finement ciselé dont la solution, j'ai l'intuition, doit donner le secret de la vie.
Vous dépassez le cube, puis, après dix minutes de marche, une forte tempête de sable souhaite en découdre avec votre présence incongrue : que faites-vous ?
Je creuse un trou dans lequel je me terre en me couvrant de ma pèlerine
La tempête s'affaiblit et s'éloigne pour rechercher une nouvelle proie. Vous poursuivez votre marche jusqu'à un escalier : décrivez-le.
c'est un escalier de fer avec des marches rongées par le sel descendant dans les entrailles de la terre d'où émane une musique qui en ce lieu me parait irréelle
Après avoir observé cet escalier, vous le contournez et reprenez chemin. Deux bonnes heures s'écoulent jusqu'à votre nouvel étape : une oasis. Quel est votre état d'esprit une fois à cette oasis ?
L'incrédulité, c'est pour cela que je continue mon chemin. Une oasis, c'est trop cliché.
Après avoir repris quelques forces, il vous faut de nouveau avancer dans le désert. Votre parcours est interrompu par la présence au loin d'un cheval : que faites-vous ?
Je me rapproche de lui pour pouvoir lui flatter les flancs.
Ensuite, aprés mon réveil, je me dis que j'ai fait un rêve bizarre et je me promet de ne plus manger du far aux pruneaux avant de me coucher.
C'est une sorte de rubik's cube en métal trés finement ciselé dont la solution, j'ai l'intuition, doit donner le secret de la vie.
Vous dépassez le cube, puis, après dix minutes de marche, une forte tempête de sable souhaite en découdre avec votre présence incongrue : que faites-vous ?
Je creuse un trou dans lequel je me terre en me couvrant de ma pèlerine
La tempête s'affaiblit et s'éloigne pour rechercher une nouvelle proie. Vous poursuivez votre marche jusqu'à un escalier : décrivez-le.
c'est un escalier de fer avec des marches rongées par le sel descendant dans les entrailles de la terre d'où émane une musique qui en ce lieu me parait irréelle
Après avoir observé cet escalier, vous le contournez et reprenez chemin. Deux bonnes heures s'écoulent jusqu'à votre nouvel étape : une oasis. Quel est votre état d'esprit une fois à cette oasis ?
L'incrédulité, c'est pour cela que je continue mon chemin. Une oasis, c'est trop cliché.
Après avoir repris quelques forces, il vous faut de nouveau avancer dans le désert. Votre parcours est interrompu par la présence au loin d'un cheval : que faites-vous ?
Je me rapproche de lui pour pouvoir lui flatter les flancs.
Ensuite, aprés mon réveil, je me dis que j'ai fait un rêve bizarre et je me promet de ne plus manger du far aux pruneaux avant de me coucher.
Paladur- Interné par erreur à l'asile d'Arkham
- Nombre de messages : 1274
Age : 44
Localisation : Carrière-sous-Poissy 78
Date d'inscription : 11/09/2006
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
Alors Docteur ! C'est grave ?
ArticMan- Champion de France 2008
- Nombre de messages : 1650
Age : 53
Localisation : POITIERS
Date d'inscription : 13/05/2007
Re: Petit jeu pour les artistes du Cénacle
Je tente ! (il faut bien que je me sois inscrite pour flooder un peu...)
Vous
vous retrouvez seul dans une immense étendue de sable, le vent pousse
avec délicatesse vers votre visage de l'air frais. Vous marchez
tranquillement quand vous faites soudain face à un cube : décrivez-le.
Oooooh ! Un rubicub ! Comme ceux de quand j'étais tiote ! Je le ramasse, m'amuse quelques instants avec (même pas surprise de sa présence ni de son état intact) et le glisse dans ma poche. Non, pas le droit vu la question suivante. Je le laisse à sa place avec regret.
Vous
dépassez le cube, puis, après dix minutes de marche, une forte tempête
de sable souhaite en découdre avec votre présence incongrue : que
faites-vous ?
Je me couvre le visage de mon mieux et me roule en boule en espérant que ça passe rapidement avant d'être ensevelie et étouffée.
La tempête s'affaiblit et s'éloigne pour
rechercher une nouvelle proie. Vous poursuivez votre marche jusqu'à un
escalier : décrivez-le.
C'est un escalier de pierres couleur sable dont les marches ont les bords usés, certaines se sont déscellées ou brisées avec le temps, mais il demeure pratiquable. Il semble être le reste d'une ruine, avec juste quelques morceaux de murailles de part et d'autre, en partie enfoncées dans le sable.
Après avoir observé cet escalier, vous
le contournez et reprenez chemin. Deux bonnes heures s'écoulent jusqu'à
votre nouvel étape : une oasis. Quel est votre état d'esprit une fois à
cette oasis ?
Je hais le désert, c'est plein de sable, j'en ai plein les godasses et si j'enlève ces dernières, je me brûle la plante des pieds. Et en plus, j'ai des mirages ! Manquait plus que ça !
La prochaine fois que je pars en vacances, je vais en Suède !
Ceci dit je vérifie tout de même si l'oasis est vraie ou pas, par curiosité.
Après avoir repris quelques forces, il vous faut
de nouveau avancer dans le désert. Votre parcours est interrompu par la
présence au loin d'un cheval : que faites-vous ?
Je le suis ! Si l'oasis était bien un mirage, lui saura me mener au prochain vrai point d'eau.
Vous
vous retrouvez seul dans une immense étendue de sable, le vent pousse
avec délicatesse vers votre visage de l'air frais. Vous marchez
tranquillement quand vous faites soudain face à un cube : décrivez-le.
Oooooh ! Un rubicub ! Comme ceux de quand j'étais tiote ! Je le ramasse, m'amuse quelques instants avec (même pas surprise de sa présence ni de son état intact) et le glisse dans ma poche. Non, pas le droit vu la question suivante. Je le laisse à sa place avec regret.
Vous
dépassez le cube, puis, après dix minutes de marche, une forte tempête
de sable souhaite en découdre avec votre présence incongrue : que
faites-vous ?
Je me couvre le visage de mon mieux et me roule en boule en espérant que ça passe rapidement avant d'être ensevelie et étouffée.
La tempête s'affaiblit et s'éloigne pour
rechercher une nouvelle proie. Vous poursuivez votre marche jusqu'à un
escalier : décrivez-le.
C'est un escalier de pierres couleur sable dont les marches ont les bords usés, certaines se sont déscellées ou brisées avec le temps, mais il demeure pratiquable. Il semble être le reste d'une ruine, avec juste quelques morceaux de murailles de part et d'autre, en partie enfoncées dans le sable.
Après avoir observé cet escalier, vous
le contournez et reprenez chemin. Deux bonnes heures s'écoulent jusqu'à
votre nouvel étape : une oasis. Quel est votre état d'esprit une fois à
cette oasis ?
Je hais le désert, c'est plein de sable, j'en ai plein les godasses et si j'enlève ces dernières, je me brûle la plante des pieds. Et en plus, j'ai des mirages ! Manquait plus que ça !
La prochaine fois que je pars en vacances, je vais en Suède !
Ceci dit je vérifie tout de même si l'oasis est vraie ou pas, par curiosité.
Après avoir repris quelques forces, il vous faut
de nouveau avancer dans le désert. Votre parcours est interrompu par la
présence au loin d'un cheval : que faites-vous ?
Je le suis ! Si l'oasis était bien un mirage, lui saura me mener au prochain vrai point d'eau.
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